Bien que ce qui se passe dans le monde en ce moment soit horrible, et que je ne comprenne toujours pas comment nous continuons à produire des armes et à faire la guerre en 2025, cela ne fait aucun sens pour moi — je veux prendre un moment pour parler non pas émotionnellement, mais logiquement, de la façon dont cette situation pourrait impacter le marché immobilier de Dubaï.
Permettez-moi d'être clair : je ne minimise pas la gravité du conflit. La guerre est tragique. Mais quand il s'agit d'investir, il faut séparer la peur des faits.
L'immobilier comporte toujours des risques. C'est pourquoi les investisseurs avisés analysent les facteurs P.E.S.T. : Politique, Économique, Social et Technologique. Mais dans ce cas, je ne crois pas que Dubaï sera affecté de manière significative — au contraire, cela pourrait même en bénéficier.
Dubaï : Le refuge sûr mondial
Dubaï a sans doute l'un des leaderships les plus solides et les plus tournés vers l'avenir au monde. Ils ont construit une ville avec une sécurité, des opportunités et une infrastructure inégalées. Un endroit qui accueille presque toutes les nationalités, cultures et croyances — tant que vous êtes ici pour travailler dur et respecter le système.
Les Émirats Arabes Unis se classent au deuxième rang mondial en matière de sécurité selon l'Indice de sécurité 2024 de Numbeo — devant des villes comme Zurich, Tokyo et Singapour.
Le pays dispose également de relations diplomatiques avec presque toutes les grandes nations. Les Accords d'Abraham avec Israël ont créé une nouvelle ère de stabilité régionale et de coopération, ouvrant des portes dans la diplomatie, le commerce et la confiance des investisseurs à long terme.
L'histoire se répète
Chaque fois qu'il y a des tensions dans la région, Dubaï voit un afflux de capitaux :
- Lors de la guerre en Irak, le capital régional a afflué à Dubaï, alimentant les premières flambées du marché.
- Lors de la guerre Russie-Ukraine, Dubaï a connu une augmentation de 43 % des transactions immobilières d'une année sur l'autre en 2022, selon les données du DLD.
- Le nombre d'investisseurs russes à Dubaï a augmenté de plus de 200 % cette année-là, contribuant à une croissance record des prix dans les zones prisées.
Et n'oublions pas la COVID-19 : alors que la plupart des grandes villes du monde étaient confinées, Dubaï a rouvert rapidement, a accueilli le premier Expo post-COVID au monde, et a lancé des réformes de visa doré — tout cela a attiré des milliers de personnes fortunées et d'entrepreneurs numériques.
L'opportunité dans la panique
Soyons honnêtes — certains investisseurs vont paniquer. Ils se précipiteront pour sortir de leurs positions, vendre en dessous du marché et liquider rapidement. Pour quiconque sérieux au sujet de l'immobilier à Dubaï, c'est votre fenêtre d'opportunité.
- Les biens en prévente se revendent rapidement — et parfois à prix réduit — pour des sorties rapides.
- Les zones prisées comme Palm Jumeirah et Dubai Hills continuent d'apprécier, mais les acheteurs avisés choisissent les vendeurs motivés.
- Le rendement moyen à Dubaï est toujours de 6 à 9 %, bien plus élevé que dans des villes comme Londres (3 %) ou Paris (2 %).
Achetez quand les autres ont peur. Négociez plus fermement. Saisissez des actifs qui sembleront être des aubaine dans six mois.
Et oui — Dieu merci, la situation actuelle semble se désamorcer. Espérons que cela reste ainsi. Mais même si les tensions persistent, je ne vois pas Dubaï impacté directement. Au contraire, je vois de plus en plus de citoyens du monde vouloir amener leurs familles et leur richesse dans un endroit sûr, stable et prospère comme celui-ci.
Pourquoi je reste toujours impliqué
J'ai personnellement vu plus de personnes construire une richesse qui change la vie à Dubaï pendant des périodes incertaines que pendant des périodes "sûres". Cette ville a fait des millionnaires — pas dans les moments les plus faciles, mais dans les plus difficiles.
Dubaï aujourd'hui n'est pas la même qu'en 2008. Elle est beaucoup plus réglementée, beaucoup plus transparente et beaucoup plus mature. Avec :
- La gouvernance RERA
- Des lois de séquestre strictes
- Des titres de propriété numériques
- Aucun impôt sur le revenu ou sur les plus-values
- Des réformes de visa pour les investisseurs immobiliers
— ce marché n'est plus spéculatif, il est structuré pour un succès à long terme.
Rien qu'en 2024, Dubaï a dépassé les 600 milliards AED de transactions immobilières, battant son propre record pour la troisième année consécutive. La direction est claire — c'est vers le haut.
Je ne parle pas seulement — j'investis. Je construis. J'aide les autres à faire de même. Parce que tandis que les gros titres créent de la peur, les fondamentaux crient toujours opportunité.
C'est Dubaï. C'est le moment.